L'Alamblog - Plouf ! - Commentaires2024-03-29T07:58:15+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearLa grande honte d'un milieu tout entier - Alain Chassagneuxurn:md5:40860d1cecad75ae796ed132919ee00c2024-02-05T10:03:08+01:002024-02-05T10:03:08+01:00Alain Chassagneux<p>Bonjour,<br />
En cherchant vainement trace d'un hommage rendu à Patrick Reumaux, je suis tombé par hasard sur le billet d'humeur que vous venez de consacrer à cette triste nouvelle.<br />
Je constate au passage mais je ne sais pas si je dois m'en réjouir que sur un tel sujet, le Sceau du Tabellion, qui habituellement sombre dans les profondeurs du classement de ce tableau d'horreur qu'est devenu l'internet, figure cette fois en bonne place entre les copains mycologues de Patrick qui saluent sa mémoire et votre Alamblog qui relaie l'info.<br />
L'occasion de vous en conter une bien belle puisque Patrick Reumaux m'avait fait récemment l'amitié de me confier des "Dialogues avec la Gobeline" pas piqués des hannetons, ni des lucilies vertes qu'il affectionnait tout particulièrement.<br />
Avec le peu de moyens dont je dispose (et encore moins d'entregent), je me suis attelé ces dernières semaines à la mise en forme de ce qui n'avait pas vocation à devenir un livre posthume et qui lui tenait particulièrement à cœur.<br />
J'ai appris en effet, le jour où j'envoyais les maquettes à l'imprimeur le décès de cet homme exceptionnel et de cet écrivain complet, romancier, traducteur hors pair à qui vous vous apprêtez semble-t-il à rendre à votre tour, l'hommage qu'il mérite.<br />
Sachez encore qu'en vous aventurant sur notre modeste site www.sceaudtabellion.fr vous y trouverez l'annonce de cette nouvelle publication pas encore disponible dans toutes les librairies de France et de Navarre qui ne se bousculent guère, il est vrai au portillon<br />
mais qui vient singulièrement et je m'en félicite, enrichir notre catalogue très confidentiel qu'il avait déjà marqué de son empreinte (Préface à L'homme de la scierie et traductions successives de Washington Irving, de Hugh MacDiarmid et d'Emily Brontë, excusez du peu).<br />
Vous y trouverez aussi, au passage, le vibrant hommage d'un de ses amis, Roland Frankart, par ailleurs secrétaire de la digne confrérie des Amis d'André Dhôtel, La Route inconnue.<br />
Bonne journée.<br />
Bien à vous.</p>La grande honte d'un milieu tout entier - ecdlhpurn:md5:f65058d2319fcf63db8d0acdd1740ff72024-01-28T10:27:39+01:002024-01-28T10:27:39+01:00ecdlhp<p>Bravo Éric ! Et merci pour cet auteur, éditeur et ami incomparable !</p>La grande honte d'un milieu tout entier - van wordenurn:md5:7eac7468734ac5a52553194b82179c482024-01-27T20:43:26+01:002024-01-27T20:43:26+01:00van worden<p>À voir si Le Monde lui consacre une nécro... J'en doute. Ça me rappelle que pour la mort de Seignolle, rien, rien du tout dans ce journal de référence.</p>Le concert des clarinettes - CATHALO Georgesurn:md5:36b3dae394716b635e8f266f8c7cbb122023-07-19T10:18:49+02:002023-07-19T09:18:49+02:00CATHALO Georges<p>...quand le nain chauve meurt, les regrets en font un géant frisé... proverbe du Lauragais profond...</p>Bibliographie lacunaire des éditions Georges Ponsot, imprimeur - jupiterurn:md5:958a2065c120437620f7e13471dc199c2023-06-27T19:09:42+02:002023-06-27T18:09:42+02:00jupiter<p>Hello,</p>
<p>I have a publication called 'Les Musiques de l'Ombre', preface de Jane d'Arboy, Cherborug, G. Ponsot, 1934, collection "Les Échos littéraires", Number 0020. The design of the cover is the same as the first example in your research. I hope it helps. Let me know if you need pictures.</p>Louis-Frédéric Rouquette répondait à Mirane-Marcelle Deffins (1926) - Martialurn:md5:8ed35ec48616b671ce3a62f2d320c58d2022-11-30T19:35:06+01:002022-11-30T19:35:06+01:00Martial<p>Bonjour, je viens de voir avec intérêt votre article. Et ceci d'autant plus que j'ai un blog sur L.F. Rouquette, centré sur son aventure et roman en Islande "L'Île d'Enfer". Avez-vous travaillé sur cet auteur ? L'illustration du portrait de Rouquette m’était inconnue. J'aimerai pouvoir l'utiliser si c'est possible. L'article de cette journaliste fait suite à un précédent dans Les Nouvelles littéraires, qui reprend un peu le même thème : <a href="https://ile-denfer.eu/les-nouvelles-litteraires/." title="https://ile-denfer.eu/les-nouvelles-litteraires/." rel="nofollow">https://ile-denfer.eu/les-nouvelles...</a> Je serai très heureux de pouvoir échanger avec vous si possible. 0 609 574 584 ou par mail.<br />
Cordialement. Martial Acquarone</p>Louis-Frédéric Rouquette répondait à Mirane-Marcelle Deffins (1926) - Véronique Boyerurn:md5:c034479f1b4d8ef6b445edd1da85e9332022-11-30T18:15:35+01:002022-11-30T18:15:35+01:00Véronique Boyer<p>Bonjour Monsieur Dussert, je n'ai pas trouvé d'autre moyen de vous contacter. Ce petit mot pour vous dire que j'ai découvert cette semaine votre livre "Une forêt cachée", dans lequel vous consacrez un chapitre à Pierre Coutras, mon grand-père. Je vous en remercie, et je voulais vous signaler, s'il vous intéresse d'en savoir plus, que j'ai réalisé sur lui un "musée virtuel" : pierrecoutras.fr sur lequel vous pourrez trouver des informations à son sujet.<br />
Bien à vous, Véronique Boyer</p>Dans son bureau Lucie s'inquiète - Alexandreurn:md5:f027433d482dde4412fc23e4fb9882cf2022-05-17T07:30:00+02:002022-05-17T06:30:00+02:00Alexandre<p>Reprenons aussi "Le Grand mal" du grand Forton.</p>Affaire publique - Michel 925urn:md5:10e673dbe448ccafd7589ea395cb69692021-06-10T13:57:31+02:002021-06-10T12:57:31+02:00Michel 925<p>Il a tout dit</p>Rendre à Martin ce qui est à Roger - MARTIN Rogerurn:md5:2c57d0bd9c36616623380eda340834262019-07-10T17:19:20+02:002019-07-10T16:19:20+02:00MARTIN Roger<p>Je découvre ce texte grâce à Alain Léger. Merci.<br />
J'ai écrit mon Georges Arnaud par passion, pour rendre hommage à un auteur et un homme qui avait fortement marqué mes 15 ans. A cette époque, il n'y avait pas Internet, téléphoner coûtait la peau du cul. J'ai écrit près de 800 lettres, donné des centaines de coups de fil, recherché des gens dont je ne savais rien ou qui étaient peut-être morts depuis longtemps. Plus de deux ans de travail! Mais je devrais être heureux: je suis cité dans La Serpe!<br />
Merci de tout cœur,<br />
Roger Martin</p>De la misogynie dans les lettres (1) - caboteururn:md5:959a4f6dcae021d8a04ce03dd21b9f1b2018-07-02T15:23:57+02:002018-07-02T14:23:57+02:00caboteur<p>Le bon sens même.</p>Franz Ansel et ses oeuvres - GOORDENurn:md5:7448c8f6c0446f95bf1942598cb0c69d2018-02-20T14:25:03+01:002018-02-20T14:25:03+01:00GOORDEN<p>Franz ANSEL a donné une conférence sur Van Dyck en mars 1918. L'essentiel du texte en sera accessible le 13 mars (19180313) sur <a href="http://www.idesetautres.be/?p=ides&mod=iea&smod=ieaFictions&part=belgique100" title="http://www.idesetautres.be/?p=ides&mod=iea&smod=ieaFictions&part=belgique100" rel="nofollow">http://www.idesetautres.be/?p=ides&...</a></p>Manuel Orazi perdu chez les dingues (une erreur tragique) - Elizabeth Prouvosturn:md5:4a33a470f90297edc1a3a4377b8384d42018-02-12T06:53:57+01:002018-02-12T06:53:57+01:00Elizabeth Prouvost<p>Oui il y a une gène à la sortie de cette expo, un manque de folie dans l’accrochage, peut être.</p>Manuel Orazi perdu chez les dingues (une erreur tragique) - Gérard Audineturn:md5:882b318106696f6a9cf979560c8082ce2018-02-11T19:35:30+01:002018-02-11T19:35:30+01:00Gérard Audinet<p>Cher Monsieur, on vient de me signaler votre article et je crois bon d’y répondre ayant coutume d’assumer mes erreurs. Ces trois dessins en question font partie d’un ensemble de 12 qui se trouve parmi les oeuvres de la collection du Dr Marie, classées neuve invention et, donc, restées à part de la Collection de l’Art brut à Lausanne. Ayant appris l’existence de ces oeuvres en cours de travail, j’en ai inclus une sélection comprenant les trois dessins en question. Je vous avoue très franchement que n’ayant pas un goût immodéré pour les oeuvres ésotériques et sataniques fin de siècle, j’ignorais le calendrier d’Austin de Croze... mais je n’en avais pas moins été séduit par ces dessins. C’est le soir du vernissage que j’ai appris le lien avec Manuel Orazi, ce que j’ai immédiatement signalé à mes collègues de Lausanne. Mais il ne m’appartient de dire s’il s’agit bien des dessins originaux d’Orazi, je ne suis pas compétent pour cela. La raison pour laquelle ces dessins se trouvent dans la collection du Dr Marie reste à etudier : un interné aurait-il eu un exemplaire de cet ouvrage de bibliophile à l’asile ? S’agit-il d’un échange amical avec le psychiatre... ou bien Orazi a-t-il payé quelques consultations avec ses dessins... L'étude restant à faire, la question n’étant pas tranchée (et peut-être devenant un peu paresseux) j’ai décidé de ne pas changer les cartels... vous laissant ainsi toute latitude pour exercer votre sagacité. Permettez-moi, en outre, de vous rassurer au sujet du catalogue : il se vend tellement mal qu’il a dû être réimprimé. Vous remerciant pour l’intérêt que vous avez porté à l’exposition et l’oeil attentif avec lequel vous l’avez visitée, bien cordialement à vous. Gérard Audinet</p>Eric Vuillard est-il un plagiaire ? - caboteururn:md5:e34e0039bed4bb0f79bb78262b2489e82018-02-04T10:17:34+01:002018-02-04T10:17:34+01:00caboteur<p>Y a aussi Minc et sa bio de Spinoza... Poivre d'Arvor... Attali... Ardisson...<br />
Mais quelquefois de grands noms cèdent à la fatigue ou à la facilité. Cf. le « Dictionnaire des plagiaires » de mon ami Roland de Chaudenay.<br />
Quant à Vuillard, nous ne nous presserons pas de le lire vu tes recommandations.</p>Eric Vuillard est-il un plagiaire ? - Le Préfet maritimeurn:md5:1963ce28b187042f40d81a8e71039a7d2018-02-03T22:02:49+01:002018-02-03T22:02:49+01:00Le Préfet maritime<p>Je ne suis ni avocat spécialisé ni juge. Et je ne fais pas l'histoire du plagiat. Je constate seulement que ce monsieur s'est permis de pomper la moëlle du travail d'autrui (sans aucune mention) pour construire un morceau essentiel de son petit roman, point barre.</p><p>Son geste est à la fois malhonnête (les chercheurs ne lui doivent rien) et pitoyablement con (comment peut-il imaginer que personne ne s'en aperçoive ?)</p><p>J'en tire les déductions qui s'imposent : il doit être lui même fort niais, fort creux et en manque d'imagination, comme le montrent généralement ses sujets, pour ne pas dire créativement impuissant.</p><p>Sa libido ne m'intéresse pas, non plus que son business plan. Il fait ce qu'il veut, mais il dit merci quand il emprunte. Point.</p><p>PS : pour la petite histoire la plupart ("plupart" j'ai écrit) des plagiaires sont très souvent de tristes hères infertiles. Tu as déjà donné quelques noms assez vulgaires, tu en veux d'autres ?</p>Eric Vuillard est-il un plagiaire ? - caboteururn:md5:1d585c2ca58924fd903905db1674c5902018-02-03T14:42:41+01:002018-02-03T14:42:41+01:00caboteur<p>Il y a quelques exemples qui vont dans mon sens : un écrivain que nous admirons tous les deux (BHL, hi hi hi !) avait été relaxé dans le procès que lui avait intenté Marie-France Barrier encore qu'il eût grossièrement démarqué l'intrigue.<br />
Pareil dans l'affaire Sagan/Hougron où en deuxième instance Hougron avait été débouté.<br />
En revanche, dans ton sens, je crois que Régine Desforges qui avait copié l'intrigue de Margaret Mitchell avait été condamnée.<br />
Si Vuillard n'a pompé qu'un chapitre et seulement pour l'inspiration, je pense qu'il s'en tirera.</p>Eric Vuillard est-il un plagiaire ? - Le Préfet maritimeurn:md5:2efe9abeb675f7749455043c1d8517d22018-02-03T13:47:52+01:002018-02-03T13:47:52+01:00Le Préfet maritime<p>C'est toute la question, cher caboteur. Je vous invite à consulter le chapitre et l'article, c'est une expérience qui mérite qu'on la tente, je vous assure.</p><p>Vous jugerez par vous-même.</p><p>Je crois savoir que la reprise d'une logique narrative, d'éléments factuels, d'une note de bas de page et du fil d'une pensée dans une seule et même pièce textuelle constitue un faisceau tel que la justice parvient à trancher. </p><p>A suivre donc.</p>Eric Vuillard est-il un plagiaire ? - caboteururn:md5:03e152a57ab79d5c4eba1936930c2fe42018-02-03T10:27:09+01:002018-02-03T10:27:09+01:00caboteur<p>Bonjour Préfet. Pas lu Vuillard ni « L'Anschluss... ». Mais il me semble qu'en droit français, le plagiat ne s'applique qu'à la forme et non au fond. Autrement dit, pour qu'un juge s'en prenne à Vuillard, il faudrait qu'il démontre que le susnommé a recopié les phrases telles quelles depuis « L'Anschluss... » Sinon, les tribunaux ne chômeraient pas... Un certain Hugo, avec « Notre-Dame de Paris » avait déjà été accusé, dans une jolie formule, « d'abuser de sa documentation ».</p>Rendre à Martin ce qui est à Roger - Brunourn:md5:2a5efe7a9d90c7785f99e5c6e5586b8d2017-11-21T16:18:53+01:002017-11-21T16:18:53+01:00Bruno<p>Bravo pour cette info! J'avais des doutes sur la lecture du livre de Jaenda, mais en meme temps, le sujet me paraissait passionnant et j'etais sur le point de le lire. Grace a votre notice, je vais me plonger dans le livre de Roger Martin, et delaisser Jaenada, avec beaucoup de plaisir. C'est un peu comme si j'allais joindre l'agreable a l'utile (soutenir un petit editeur et negliger un auteur trop mediatique)...!</p>