Lecteur déçu, Pol-Jean Mervillon nous dit tout ce qu’il pense des Yeux de la nuit, roman de Pierre Kyria dans le magazine Kiosq (octobre 2006) et cite cette phrase :
“La Mercedes se laissa reconduire sur le chemin du retour, mais d’une foulée lente et souple.”
Pierre Kyria, Les Yeux de la nuit, Editions du Rocher, 2006.
1 De Feu Dominique Poncet -
Monsieur le Préfet,
Puisqu'à l'évidence vous n'avez pas eu le temps encore de lire le livre que vous épinglez avec férocité, mais seulement son recensement par un critique déçu (AVIS PUBLICITAIRE : je "suicide" pour pas cher tous les critiques déçus, sans trop de douleur, ne faisant saigner que le portefeuille : notre honorable ancêtre Lacenaire a fondé notre boutique) on peut se demander si ce n'est pas vous qui commettez hénaurme boulette dans la foulée de la bévue du critique que vous lisâtes (épinglez-les donc mes métaphores tirées par le scalp : même volontaires elles sont inadmissibles de la part d'un prétendu si bon auteur que moi), brèfle.... n'est-ce pas vous qui commettez the big boulette : qui, à part cet imbécile de critique déçu (les gens déçus de quoi que ce soit sont tous des imbéciles), qui oh nom de dieu ! qui vous dit que cette Mercedes n'est pas un personnage féminin ?