“Marc Stéphane (…) doit travailler dans les sucreries pour se plaire à des récits aussi terrifiants que les siens qui oscillent du cauchemar d’horreur à l’épouvante de la folie.”
C’est Henri Martineau qui le disait, en février 1910, dans Le Divan, à propos des Contes affronteurs de Marc Stéphane.
Or Marc Stéphane le “cul-terreux”, le précurseur de Louis-Ferdinand C., ne travaillait pas dans les sucreries, comme on pourra s’en convaincre sous peu en lisant Ma Dernière Relève au Bois des Caures, où le “vieux”, philosophe en diable, raconta ses heures de tranchée…
Ce sera une réédition des Éditions Italiques, avec une préface de votre Préfet préféré. Et ça sera une redécouverte : une langue comme ça ne se déguste pas tous les jours.
Plus d’information bientôt. Promis.
Le livre sera en librairie dès le mois d’octobre. C’est bientôt.
Marc Stéphane en “tranchérien”
1 De Restif -
Très intéressant. Ce ne peut être que le Marc Stéphane, admirateur du mendiant ingrat, sur lequel Bloy s'étend longuement dans son Journal inédit. C'est Bigand-Kaire qui fut cause de leur brouille, que Bloy regretta.
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