Le printemps est là et ça se voit

Seasick Steve et ce qui parait être un dobro, avec une casquette (Andyhallphoto.com)

Gros stress de printemps : les livres appétissants profusent à mort.
Une liste paraîtra bien bénigne, bien bête, et c'est cependant de cette solution que nous allons (lâchement) user pour vous dire les excitations qui nous empoignent.
Parce qu'il n'y pas que l'écoute des chansons de Seastick Steve dans la vie.
Mais non.
On dirait cependant, c'est vrai.
Mais en fait non.
Il y a une lettre de Claude Seignolle au courrier, les deux récents livres de Patrick Reumaux dont nous allons reparler, évidemment, la réception de Sous l'empire des oiseaux de Carl Watson (Vagabonde), sacré Ricain dû à la généreuse attention de Daniel Mallerin, du Journal de Marguerite de Saint-Marceaux (Fayard), communiqué par de savants annotateurs — une vraie surprise brune issue de nulle part avec un index et des notes à damner un bibliographe — et un roman de Michel Jourdain, Frank Sinatra monte au Paradis (Champ Vallon). C'est plus qu'il n'en faut à un seul lecteur...
En plus, Dominique Poncet remet en route Dubeaumonde, un Dubeaumonde qui pète des flammes (Carine Fernandez, André Dhôtel, Baudelaire...), et La Clef d'argent annonce la parution du Mausolée de chair, récit de Jonas Lenn — Trotski, un biologiste russe, l'Histoire.... —, et Seasick Steve continue d'être Seasick Steve... même en version freedownload.
Et il fait chaud.
Et on a faim.
Et la vie est belle, même au printemps.
Il est pas certain que ça dure.
Un signe : Corinne Maier a choisi l'exil.

Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Haut de page