Sur un bel étal du XIIIe arrondissement de Paris, deux filous copinent. Le lancement de l'exposition Nadar (BnF) y est sans doute pour autant que l'état général des choses. La rencontre est cependant très réjouissante. Qu’auraient donc échangé ces deux-là ? François Caradec M. Tristecon, chef […]
Mot-clé - Nadar
Cinq heures sur le boulevard (Hector de Callias)
Jolie heure et jolie comédie, Ponson décoré de frais disserte avec Monselet sur le style absolu ; Baudelaire, cheveux gris sur menton d'enfant de choeur, met en sonnet quelque crime biblique ; Gaïffe dit : — la femme est comme l'éléphant, car on l'aime et ça trompe ; un provincial explique sa […]
Un portrait de Marc de Montifaud
Dans la Galerie contemporaine, on trouve aux alentours de 1880 un portrait de la sulfureuse Marc de Montifaud (pseudonyme de Marie-Amélie Quivogne) par Nadar. Point trop à son avantage, il est vrai. […]
Philarète Chasles par Nadar
Philarète Chasles, par Nadar (Le Journal amusant, n° 164, 19 février 1859) Et toujours Philarète CHASLES Vie de Daniel Defoe. Notes et postface par Eric Dussert. - Paris, Mille et une nuits, 96 p., 2,50 € […]
Il a paru ! Gloire lui soit rendue !
Nous l'attendions : il a paru, c'est formidable. Ce livre de Paul Edwards, le fondateur de l'Ouphopo (ouvroir de photographie potentielle), est un ouvrage de référence rassemblant les récits et fictions dénigrant un art neuf, la photographie. Son sous-titre (celui du livre) en dit la haute importance. Ce qu'il ne dit pas, ce sous-titre, en revanche, c'est qu'au-delà des galéjades réactionnaires, des moqueries bien naturelles et des fictions de belle eau, digne de séduire les plus experts, tels Coolter et Quincampoix (Codex Atlanticus), suggérées par cet art naissant, on y découvre le vrai visage du véritable inventeur, jusqu'ici anonyme, de la photographie.
Oui, nautesses, nauteux, vous trouverez en avant-première la gravure qui, désormais, fera foi en la matière.
Si l'on ignore encore l'identité du bonhomme qui créa dans l'anonymat la photographie, on assiste à la présentation de sa trouvaille.
Vous ne pourrez pas dire que l'Alamblog se moque de vous ! Voilà de l'information inédite, nous la devons à Paul Edwards lui-même.
Toute librairie digne de ce nom contient d'ores et déjà une pile de cet ouvrage majeur, plaisant, savant et décillant entre ces murs. Pour faire court, ce livre est un must, un vade-mecum, un usuel, un indispensable. Et je pèse le choc de mes mots.
Paul Edwards, Je hais les photographes. Textes clés d'une polémique de l'image. — Paris, Anabet, 2006, 23 €
Et pour découvrir l'image et le sommaire, suivez le guide :